Friday, August 28, 2009
Annoying colihues - Bariloche, Argentina
I took the bus 17 hours south of Valparaíso, in the Lake District, a region cutted in two by the Andes and shared by Chile and Argentina. Like the name says, there are many lakes, also mountains and forest. From Osorno in Chile, I transfered into another bus and cross Puyehue National Park that lead at the summit of the pass and to the border. On the other side, we drove through Nahuel Huapi National Park to the city of Bariloche. Bariloche is situated by a big blue lake (Nahuel Huapi) and is famous for its ski centre, Cerro Catedral. With the snow, mountains, expensive restaurants, chocolate shops, alpine architecture and also because it's situated in the oldest national park of the country, it's more or less the Banff of Argentina.
I went for a hike on one of the few trail open in the winter. It was cold, snowy and really windy. The trail was in a valdivian forest by the lake, in the Llao Llao (pronunced Yao Yao or Djao Djao, depending how thick your argentine accent is) section of the park. Most of the trees of the forest evolve from a forest that once were present on Antarctica when South America was still attached to it. The prenominent tree was the alerce, a tall evergreen tree with big, straignt trunk, it is sometime called the South American Sequoia. There was also some arreyanes, a rarer evergreen tree that grows in wet areas and that has white-orange bark.
It would have been a nice walk if this was the only vegetation but under those big trees grew a dense undergrowth of colihues. There are 1 or 2-meters high bamboos that stay green in the winter but bend in all directions because of the cold and the weight of the snow. They have an annoying tendency to bend in the trail, almost totaly blocking it. It was so thick, they were impossible to avoid, and they were so wet that it was impossible to stay dry. At the end of the 5 hours walk, I was totally soaked from head to toes. And with the temperature and wind, it fell really uncomfortable. All that uncomfortableness made the walk somehow memorable.
J'ai pris un autobus qui a m'a mené 17 heures au sud de Valparaíso, dans la région des lacs, une région coupé en deux par les Andes et partagé par le Chili et l'Argentine. Comme l'indique le nom, il y a beaucoup de lacs, aussi des montagnes et forets. D'Osorno au Chili, j'ai transféré dans un autre autobus et traversé le parc national Peyehue qui mene au sommet de la passe et a la frontiere. De l'autre coté, nous avons conduit a travers le parc national Nahuel Huapi a la ville de Bariloche. Bariloche est situé sur les berges d'un grand lac bleu (Nahuel Huapi) et est reconnu pour son centre de ski, Cerro Catedral. Avec la neige, les montagnes, les restaurants chers, les magasins de chocolat, l'architecture alpine et aussi parce que la ville est situé dans le plus vieux parc national du pays, c'est plus ou moins le Banff d'Argentine.
J'ai été faire une randoonée dans un des quelques sentiers ouvert l'hiver. Il fesait froid, il neigeait et c'étrait tres venteux. Le sentier était dans une foret pres du lac, dans le secteur Llao Llao (prononcé Yao Yao ou Djao Djao, dépendamment de l'ampleur de votre accent agrentin). L'arbre prenominent était l'alerce, un grand arbre qui ne perd pas ces feuilles l'hiver et qui possede de grand tronc droit. Il est souvent surnommé le séquoia d'Amérique du Sud. Il y avait aussi quelques arrayanes, des arbres plus rare qui poussent dans des milieux plus humide et qui ont une écorce lisse blanche-orangée. Ca aurait été une promenade tranquille s'il n'y aurait pas poussé sous ces arbres une dense couche de colihues. Ce sont des bambous qui atteignent d'un a deux metres de hauteur et qui restent vert tout l'hiver mais deviennent courbé par le froid et le poid de la neige. Ils ont une tendances a se courber dans le sentier, la bloquant presque entierement. C'était si dense, qu'ils étaient impossible a éviter, et ils étaient si mouillés qu'il était impossible de rester sec. A la fin de ma marche qui a duré 5 heures, j'étais totalement trempé de la tete aux pieds. Et avec la température et le vent, je me sentais tres incomfortable. Toute cette incomfortabilité a néanmoins fait de la marche une marche assez mémorable.
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